Chronique du voyageur – chapitre 2

En direct de l’observatoire

L’avantage du train reste la relative stabilité du voyage par rapport à un voyage en avion et ses turbulences. Il est plus facile de travailler sur un portable dans un train.

Mon PC portable est joli avec son écran large et brillant mais il consomme de la batterie comme un enfant américain boit du Coca. En gros, j’ai droit à 90 minutes de batterie, 2 heures si je me limite à du traitement de texte. En baissant la luminosité je peux gratter une vingtaine de minutes supplémentaires! Mais pas de prise de courant pour le recharger, à moins de voyager en 1ère classe.

« Alors là, tu peux te brosser, Julien », me direz-vous. Et vous aurez raison.

Cela dit, il existe dans les gares quelques prises bien cachées dont je ne révèlerai pas la cachette. 😉

Disons juste qu’il est possible de se brancher dessus discrètement pendant un bon moment, le temps de scribouiller sur mon calepin Google (comme je me la pète quand même) de quoi alimenter cette chronique, relatant ainsi ce que j’observe depuis mon observatoire.

Auteur/autrice : Julien Coquet

Expert de la mesure d’audience sur Internet depuis plus de 15 ans, Julien Coquet est consultant senior digital analytics et responsable produit et évangélisation pour Hub’Scan, une solution d’assurance qualité du marquage analytics. > A propos de Julien Coquet

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.